Les pionnières :
Cindy s'illustre dès 1988 en dénudant sa plastique impeccable, 100% américaine, dans Playboy. La même année, Linda évolue dans les hautes sphères des couturiers. Comme und danseuse étoile, elle possède ce « plus » qui la distingue du corps de ballet. Sexy, féline, fatale à volonté, elle a le pouvoir de transformer la « très chic madame » en rockeuse underground. À volonté.
La discrète et très américaine Tatjana collectionne les couvertures de magazines et les pubs (dont la campagne Levi's).
Naomi, surnommée « Baby Woman » par les couturiers, est le premier mannequin noir à faire la couverture du Vogue France et USA en 1988. Depuis, elle n'a eu de cesse de partir en guerre contre l'ostracisme racial de la pub et des féminins qui privilégient l'image des Blanches.
Christie, « le plus beau visage du siècle », a profité, elle, de sa notoriété pour défendre des causes humanitaires en reversant notamment une partie de ses gains pour la protection de l'enfance. Sans tapage médiatique. C'est le model modèle de la planète Top.
La retraite à 30 ans :
Si l'on admet qu'une décennie ne compte que dix top models, ces dames sont en surnombre et doivent céder la place.